dimanche 28 février 2016

2ème matin croquis - Belfort - marché des Vosges

Ce matin, deuxième matin croquis, au marché des Vosges
Difficile de dessiner dehors, tellement il faisait froid. Heureusement que le marché couvert est chauffé et qu'on peut s'y réchauffé avec un petit noir.
Tout ne se réchauffant on a dessiné quelques échoppes et ensuite  on a dessiné quelques figures du marché...





mardi 9 février 2016

première rencontre autour du dessin et du fanzine - Suite

Quelques croquis réalisés durant cette mémorable journée...











Première rencontre autour du dessin et du fanzine

Extrait Est Republicain du 07/02/2016:



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Art Belfort accueille la première manifestation autour du fanzine

La maison de quartier des Forges a accueilli la première rencontre autour du dessin et du fanzine hier.



Avec ses tampons, Louna, 9 ans, est en train de réaliser son premier fanzine. Un mini-livre dont elle a déjà trouvé le titre : « L’oiseau d’Amel ». « C’est l’histoire d’un oiseau qui va dans plusieurs maisons. Il se blesse et est recueilli par Amel, qui va devenir son amie. »
Livre d’artiste, cahier de dessin, livre d’images, le trait a été mis à l’honneur sous une autre forme que celle des lettres, hier, à la maison de quartier des Forges.
Florent Wong, peintre belfortain, intervient régulièrement dans les classes. « Mon objectif est de montrer que le stylo peut servir autant à écrire qu’à dessiner. » Avec les élèves de 6e du collège Châteaudun, il a proposé plusieurs ateliers.
« On incite les élèves à oser dessiner : ils ont tendance à croire que les croquis sont réservés à la maternelle »
Comme un mémory illustré réalisé à partir d’une dizaine d’œuvres de Léger, Picasso ou Matisse, exposées à la fondation Jardot. Ou un exercice original. « D’habitude, on propose un texte qu’il faut illustrer. Là, j’ai fait l’inverse. Un dessin dont il faut imaginer le texte. » L’exercice stimule l’imagination et peut surprendre lorsqu’il est proposé en cours de dessin.
« Ces interventions en classe permettent de bien montrer le lien entre le texte et l’image », précise Sonia Barraux professeur d’arts plastiques. « On incite les élèves à oser dessiner car à cet âge-là, ils ont un peu tendance à croire que les croquis sont réservés à la maternelle. À travers les livres d’artistes, ils découvrent aussi que l’ouvrage ne se limite pas à un ensemble de mots, qu’il peut avoir du relief, être composé de matières différentes. »
Bref, le livre prend forme sous le toucher. « Un livre d’artiste, c’est une œuvre, au même titre qu’une photo, une peinture ou une sculpture », résume Pascale Lhomme, artiste graphiste plasticienne. « C’est une forme d’expression artistique qui utilise le livre comme support. Mais c’est vrai que le grand public n’est pas habitué à cette approche nouvelle de tenir le support et même de le manipuler. »
À Lausanne, puis à Besançon, Pascale Lhomme a créé une petite maison d’éditions, « Le Mécano ». « Il est possible de faire des tirages à quelques exemplaires, une trentaine par exemple, ou même des tirages uniques. »
Livre de souvenirs, d’impressions, recueil d’aquarelles ou de dessins colorés, livre à thème ou cahier d’essais, les papiers crayonnés aiment se conserver, se relier, s’exposer. Et surtout se montrer. Pour faire voyager ou tout simplement partager.
Isabelle Petitlaurent
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dimanche 7 février 2016

Portrait

Aujourd'hui... On revisite le portrait
Une partie travail monochrome
L'autre partie...
Par aplats, avec des couleurs qui représentent la personne...

Acrylique
50x50cm